Comment la technologie de la NASA des années 60 pourrait conduire à des modèles agricoles plus durables

La façon dont nous menons la production agricole d’aujourd’hui ne peut pas être considérée comme une agriculture durable ou évolutive pour un scénario d’une population mondiale de 10 milliards de personnes, ce qui est le nombre qui est prévu pour atteindre en 2050. Dans l’article de cette semaine, nous voulons partager une conférence TED de Lisa Dyson sur une technologie développée dans les années 60 qui pourraient conduire à réinventer l’agriculture vers des modèles plus durables.

Malheureusement, la vidéo n’est pas sous-titré en français, mais nous allons faire un bref résumé ci-dessous.

 

Imaginez que cela fait partie d’un équipage d’astronautes voyageant vers Mars et le temps Voyage peut prendre un an ou même plus. L’espace et les ressources à bord sont limitées, de sorte que vous et l’équipage devez comprendre comment produire de la nourriture avec un minimum de ressources.

Et si vous pouviez apporter avec vous quelques paquets de semences, et cultiver en quelques heures?…Et si ces cultures produiraient plus de graines, ce qui permet d’alimenter l’ensemble de l’équipage avec seulement ces quelques paquets de graines pour la durée du voyage?

En fait NASA résolu (au moins théoriquement) ce problème, en utilisant des bactéries avec lesquelles vous pouvez créer un cercle vertueux de charbon qui pourrait soutenir la vie à bord d’un vaisseau, où certaines bactéries capturent le dioxyde de carbone exhalé par les astronautes et de produire cette protéine à partir de CO2, ce qui à son tour est de nouveau est expiré dans la respiration, mais cette recherche n’a pas abouti à aucun développement.

closed loop carbon cycle

Closed loop carbon cycle

 

Puis Lisa Dyson a vu les effets destructeurs de l’ouragan Katrina en 2005, et a décidé de prendre des mesures pour moyen d’accélérer le processus du cycle du carbone, et en commencant sa recherche elle a lu derecherches de la NASA. Donc, il a trouvé que la réponse n’a pas été dans les plantes telles que les arbres d’oliviers, mais dans des micro-organismes et est ainsi devenu entrepreneur et a fondé sa compagnie, Kiverdi.

Le petit problème actuel…

Chaque année aux États-Unis 134 millions de tonnes de déchets sont mis en décharge ; 170 millions de tonnes de déchets agricoles, et 60 millions de tonnes de déchets de bois sont produits. Ce système de gestion des déchets n’est pas durable et a des effets négatifs à long terme sur l’environnement. Dans le même temps, les prix des matières premières de sources agricoles et du pétrole comme source sont à des sommets historiques et présentant une volatilité considérable.

Le petit problème à l’avenir…

L’agriculture moderne est tout simplement pas évolutive de façon durable pour répondre à cette demande, il y a un certain nombre de raisons. La première est que l’agriculture est l’un des plus grands producteurs de gaz à effet de serre, émettent plus de gaz que toutes nos voitures, des camions, des avions et des trains combinés.

Une autre raison est que l’agriculture moderne prend simplement un tas de terre. Nous avons dégagé 19,4 millions de miles carrés pour les cultures et le bétail. A quoi cela ressemble-t-il? Eh bien, voilà à peu près la taille de l’Amérique du Sud et l’Afrique réunis.

En Indonésie, un montant de forêt vierge totalisant la taille d’environ Irlande, a été effacé entre 2000 et 2012. Il suffit de penser de toutes les espèces, la diversité, qui a été enlevé dans le processus, que ce soit la vie des plantes, des insectes ou des animaux. Et un processeur naturel de carbone a également été supprimée. Cette effacement est fait principalement pour faire place à des plantations de palmiers

“Nous croyons que cette technologie peut réellement nous aider à fournir des produits de valeur, et fair le recyclage du CO2 d’une facon rentable”

La société créée par Lisa Dyson est pour le moment concentré sur trois produits clés: Un des aliments riches en protéines qui peut être utilisé pour remplacer la farine de poisson afin de permettre une aquaculture durable. Le deuxième est un produit qui a été appelé “PALM +” qui peut remplacer l’huile de palme dans les produits de consommation, y compris les détergents, assouplissants et lotions. Et a enfin une huile d’agrumes peut être utilisé comme un arôme, un parfum, ou comme détergent biodégradable.

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Pour en savoir plus:

www.consciouscompanymagazine.com/blogs/press/introducing-the-new-oil-barons

www.launch.org/innovators/lisa-dyson

 

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